Tome 1 : La bombe de Saddam

Jean-Claude Bartoll – Ramon Rosanas 

Album: 56 pages

Editeur : Dargaud (10 juillet 2015) 

ISBN-13: 978-2205072235 

 

Quand la réalité dépasse la fiction : l'histoire vraie d'un raid aérien audacieux au coeur d'une crise géopolitique majeure – une évocation troublante de notre actualité. En juin 1981, l'aviation israélienne détruisit l'unique centrale nucléaire du monde arabe, en Irak. La mission des F-16 était d'empêcher Saddam Hussein d'obtenir l'arme nucléaire avec laquelle il menaçait d'effacer Israël de la carte. Une opération précédée à la fois par les coups tordus – dont certains en France – de différents services secrets, et par la préparation par des pilotes d'exception de ce raid aérien qui reste, dans les annales de l'aviation militaire, un modèle d'attaque préventive. Un docu-fiction choc en deux parties sur une des plus grandes opérations aériennes d'espionnage des trente dernières années !

 

 

 

 


Avis de lecteurs :

Par Haubruge Alain le 18 juillet 2015 (amazon)

Le scénariste (Bartoll) et le dessinateur (Rosanas) nous proposent un livre collant parfaitement à l'actualité de ces derniers jours. En signant un accord sur le nucléaire Iranien, la communauté internationale remet à jour certains démons enfouis depuis plusieurs décennies. Quelle sera la réaction d'Israël face à cette menace ? Va-t-elle rééditer le scénario décrit dans Mission Osirak ? Le dyptique nous conte l'histoire de la première centrale nucléaire vendue au monde arabe par la France de Valéry Giscard d'Estaing (1976). Un rappel pour tous du contexte historique dans lequel Israël a détruit en avril 1979 sur le sol français (Usine CNIM située à la Seyne-sur-Mer dans le Var) les deux réacteurs (Osirak et Isis) destinés à équiper le site nucléaire irakien de Tuwaitha. En juin 1981, le site irakien situé à 18 km de Bagdad sera bombardé par l'aviation israélienne causant la mort d'un ingénieur français et de dix soldats irakiens. Sans oublier en juin 1980, les services secrets Israéliens (Mossad) supprimant un membre de la commission atomique irakienne dans une chambre d'hôtel parisien. Voilà la première partie de cette histoire où la réalité dépasse amplement la fiction.

 

Par Heddy69 le 25 octobre 2015 (amazon)

Bartoll (9/11, La traque, Insiders...), à l'écriture, servi par des beaux dessins de Rosanas nous offrent une œuvre ancrée à la fois dans l'histoire contemporaine et dans l'actualité !! Quel plaisir !

Vivement la suite...et merci

 

Steph42, 21 mars 2016 (Babelio)

Un très beau travail de scénario de M Bartoll accompagné de dessins soignés vous obtenez une BD de qualité qui permet de se remémorer pour les plus anciens et de découvrir pour les autres un fameux épisode de la guerre Israélo-arabe avec le bombardement de réacteurs nucléaires en construction en Irak.

Je recommande vivement !! 

 

Coups de cœur de libraires  FNAC :

ERIC de FNAC Tours

La France va livrer deux réacteurs nucléaires à l'Irak, mais Israël se sent directement menacé. Premier tome d'une série d'espionnage remarquablement documentée, par le professionnel Jean-Claude Bartoll.

 

ORKIA de FNAC Avignon

Mission Osirak, c'est l'histoire d'une attaque aérienne reconnue comme une des plus audacieuses de l'après-Deuxième Guerre mondiale : le bombardement par l'armée de l'air israélienne de la centrale nucléaire irakienne Osirak, en 1981.


Tome 2 : Le raid impossible

Jean-Claude Bartoll – Luc Brahy

Album: 56 pages

Editeur : Dargaud (27 mai 2016) 

ISBN-13: 978-2205073683 

 

Suite et fin de ce récit haletant, entre documentaire rigoureux et thriller implacable. Jean-Claude Bartoll nous raconte les circonstances qui, en 1981, aboutirent au raid de l'armée de l'air israélienne sur un réacteur nucléaire irakien qui aurait pu donner la bombe atomique à Saddam Hussein. Sur une documentation sans faille, l'ancien grand reporter construit un récit tendu, nerveux, auquel Luc Brahy prête une mise en scène au cordeau.

 


Avis de lecteurs :

Steph42, 30 juin 2016 (Babelio)

Très bonne suite et fin de cette BD bien documentée et dessinée.

Un regret : une fin peut être un peu précipitée qui ne permet pas de mesurer la stupeur d'une partie du monde suite à ce raid.